Les Vampires

Ayant de tout temps existé dans les légendes des différentes civilisations. Le vampire était rangé dans la catégorie succube, le terme vampire ne faisant son apparition au 18ème siècle dans la région des Balkans. Mort vivant plus ou moins en décomposition, ne pouvant entretenir son étincelle de vie funèbre que par l’absorption quotidienne du sang des vivants. Par la suite, le folklore et la superstition des gens du peuple ont fait que sa morsure devient contagieuse ou mortelle. Les dévots firent que pour se prévenir de ces êtres malfaisants, le crucifix et un clou de la croix à condition qu’il soit en argent ainsi que la lumière du soleil qui ne pouvait être que divine contrairement à la nuit, devinrent les seules armes de protection contre les vampires. L’ail ne fut apporté que plus tard car étant un tonicardiaque, elle ne pouvait qu’être néfaste à un être dont le cœur avait cessé de battre. L’odeur de ce condiment censée l’indisposer ne serait en fait qu’une façon de l’avertir de sa consommation par sa future victime. Au sujet de cette dernière, il faut faire tomber l’idée reçue du mythe du vampire assassin, ce dernier préfère avoir un sujet bien vivant avec lequel il peut s’abreuver à volonté plutôt que de le tuer.

La culture évoluant en fonction des époques. De malfaisant le vampire s’est acheté une bonne conduite pour devenir végétarien (pour le cas, il n’étanche plus sa soif au cou des humains, mais à celui des animaux). Plus sociable, le vampire moderne se fond dans la masse des mortels, il adopte leur culture, mode et préoccupations n’hésitant pas à flirter avec une personne de l’autre sexe en s’astreignant à une sobriété d’ascète pour son penchant d’hémoglobine,… Le vampire nouveau est devenu sortable d’autant que la lumière du soleil ne l’incommode plus. Les caractéristique du vampire sont une peau blafarde, deux canines supérieures proéminentes, fixes ou qu’il peut rentrer dans sa mâchoire. Une vélocité, une endurance et une force bien supérieures à n’importe quel athlète de haut niveau.